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bienvenue sur mon blog accueil mes videos ma musique... 22 04 2009 mais ou est passée la plèbe… le pouvoir ne nous a jamais appartenu…dur constat, le foot et les jeux du cirque, parallèle évident, surtout quand t’on voit la fille qu’on désire (faut pas pousser mémé, dans les bras direct, d’un autre) embrasser des destins qui ne sont pas comme ceux que tu voudrais…bref, y a du foot à la télé faut pas trop en demander…reculer bas. tel est le constat, une claque dans sa gueule, à ariel, faut se faire du minimum, la pluie encore frappe fort sur les toitures, elles endurent un long supplice qui dure. nous voilà revenus sur le bitume, je m’enrhume, mais contrairement à mon pot, je reste là, en fait je ne sais pas pourquoi, mais la chute de l’eau m’apaise, elle fait ronronner en moi de belles rumeurs, calme mon cœur. je suis bien et me fout de celle du voisin, il a beau partir ça ne changera rien. je resterai seul sans refrain que les gouttes sur la bâche tendue…pourvu que ça dure. un blougliblougla, qui donne sur la scène… je n’attends rien des hommes et donc des femmes, c’est être le plus important. en disant ça j’ai revendiqué ma faiblesse, quand c’est jeune et neuf, c’est la que c’est bon. nous ne nous séparerons jamais de nos amours d’enfance. c’est ça que je veux dire. l’âge désert la légèreté, dessert la spontanéité. je pense à ça et c’est mon voisin qui embrasse la femme que je désire, quelle lopette, mais je ne m’en sort pas. je préfère le jeu à la confrontation, si je ne touche pas par le jeu, ça n’en vaut pas la peine. ça traverse, converge, dessert en plus la cause de sa clarté, encore du temps perdu…non je suis à l’abri, mon abruti d’ami, lui se mouille pour retourner sur son pont, il va le frotter pendant la pluie…..ce sont des économies d’eau dit il. moi j’use mes neurones, je n’en fais pas grand-chose…s’il y avait une leçon à tirer de tout ça….. use de tes mains plutôt que de ta tête, les idées sont plus claires…….. encore un jour perdu, juste à cause du gris que je vois, je ne perçois aucune autres couleurs, si le malheur c’était ça…il serait facile….alors qu’y a un monde autour…..t’es con ou quoi…. je balance ma chaise, retrousse mes manches…et m’en vais frotter mon pont pendant la pluie…..ça fait des économies d’eau…. commentaires : 2 commentaires » catégories : liens 22 04 2009 y’a des soirs comme ça…c’est bizarre. on a l’impression d’un rien sidéral, d’un mouvement d’astre, par je sais quel tourment magnétique, paf….les choses tournent…se compliquent….. on sait jamais trop comment prendre les solutions, la fin ou le début d’un problème. hé bé ! fit il avec ça on va pas aller loin !…. et la main d’ariel vint claquer l’arrière du crane de gabriel, même un oiseau surprit par le paf prit la fuite. il se tourna vivement, regarda son pot, et déclencha une avalanche de coup plus spectaculaires que douloureux, sur sa face hébété. bon, il s’était comprit, ou il avait comprit, ce n’est pas la peine de fondre en réflexion métaphysique devant chaque difficulté de la vie. les 2 étaient d’accord, mais ce hector qui crois qu’a pas tord, ressorts toujours les mêmes rengaines sur lui et son petit monde, et ces questions de la trentaine, ses filles jamais fidèles, peut être parce qu’il l’est pas lui, ces maisons toujours trop vide, ces cœurs jamais à prendre. prendre le cœur, c’est de la sueur petit, et la sueur, c’est pour les bons cœurs. voilà, bon hector on l’aime bien mais il est toujours à pleurnicher sur lui…nous aussi remarque…mais lui c’est toujours quand y faut pas….c’est ça la différence. toujours, que dis-je encore la, les deux, l’effet du tarfon animait notre bière, on était bien. simplement bien, rire de tout et de rien, ça n’arrive pas avec beaucoup de monde, c’est précieux quand on a ça avec quelqu’un, ce sont des moments d’une intensité qui vous touche souvent à postériori, alors c’est juste un sourire qui vous vient. mais c’est toujours plus enivrant, ça vous donne toujours une impression plus saisissante que l’instant est unique, fort et vécu, de chopper un centième de seconde pour gueuler en vous….putain c’est bon. c’était ça 2 cons et instant sans rien que 2 esprits ouverts vers un détail sans matière le temps. y’avais encore au loin les chaleurs du goudron qui troublaient l’horizon, le bouiboui étais à même la route. lorsqu’un souffle frais traversa, le soleil perdit sa puissance. les clac, clac, clac, sur la toile en plastique épais, nous donna une bonne raison de recommander une bière….la pluie se mettait à tomber. du coup les pieds de gabriel se croisent et ariel s’exécute…. il a payé la première. la voix vient de ta gauche, sans savoir pourquoi il a tourné la tête de l’autre coté, non en fait il a reconnu sa voix, c’est zoe, elle traine souvent par là, elle aime bien les bateaux, mais c’est une chieuse…bon en fait tu ne la connais que depuis 2 jours…se dit il, bon je commande une autre bière. gabriel par contre il connait bien, enfin un peu mieux avec un peu plus d’horizontalité, en fait c’est â lui qu’elle en veut….le présent qui passait l’avait perdu loin des bras de sa belle….elle lui en tiendra rigueur vous pouvez en être sur. non…en fait c’est pas la peine. elle arrive, y’en a pas eut tes tonnes mais y’a elle. des fois il dit même qu’il ne sait pas comment elle a put finir dans ses bras, tellement elle est belle, il sait pas. se qu’il voit par contre, mais qu’il ne savait pas c’est que ce n’est pas sa table qu’elle choisit, mais bien celle de hector. elle serpente, en balançant ses hanches de droite à gauche entre les chaises, effet garanties avec sa robe volante à fleur, perchée sur ses espèces de sandales à talon, cambrais c’est étourdissant, ces cheveux mouillés suivent l’ensemble de son corps dans cette valse gracieuse. elle est magnifique. ils se le disent tout les deux, quasi au même moment. mais c’est hector celui qu’a jamais tord qui l’emporte encore. c’est toujours plus facile de voir le mal chez les gens. l’instant ils l’ont perdu, à cause d’une mauvaise pensée, hector et zoe, c’est avéré. commentaires : 1 commentaire » catégories : liens 29 03 2009 je traine une carriole,…suis un âne… ? l’envie de sauter m’affole devant le vide,….serais je suicidaire ? c’est insensé, comment ça sort pas…on vie une aventure, une des aventures les plus touchantes, troublantes, des aventures de vie, que l’on puisse vivre et on en sort rien de bon….ça sort pas….y’a prescription, ou le pouvoir de sa personne est toujours présent….je ne sais pas, ça ne sort `pas. du gris, comme le ciel ce dimanche, dessine des murs autour de mes ressentis. l’absence physique est relative, la pureté, l’exaltation et la sensation d’être aimé, respecté, et d’appartenir à quelqu’un sont les carburants……les notions qui donnent des hommes heureux. ariel, le nettoyeur de sueur, déodorant, naturel, mais juif. il ne pense qu’à lui, c’est antisémite…ça….m’a dit l’autre jour, nous discutions autour d’un verre de lessive, que si on attendait trop de l’autre on était forcement dessus. moi je disais que c’était pas vrai, que même des fois on pouvait être surprit par l’autre….. oui, mais tu seras forcement dessus, car la flammes ça s’entretien pas par l’amour, mais par le respect me dit il…. d’ac mais l’amour, c’est ce qui fait qu’on se rapproche… l’amour ça ne rapproche pas, ça fait mal. dans ta gueule. alors comment se rapproche t on ? la lumière, petit à petit, s’en est allé c’était le soir et c’est normal, le soir la lumière tombe, les hommes aussi d’ailleurs, normal fait plus noir…on y voit moins bien….mais les mots restent les même alors mieux vaut se toucher dans le noir, car les mots on besoins des yeux. bien c’est n’importe quoi, j’ai reprit ma route avec des chaussures moins lourdes. je pense à tes yeux, tes yeux, tout le bonheur, et la beauté qu’il y a dans tes yeux, toutes les douleurs emmagasinées dans cette vie trop facile, trop de reproche, trop de capricieuse. moins pieuse qu’une pieuvre, je n’aurais pas de solution dans l’expansion, dans l’expressio